Archives de Tag: Dystopie

Valérie Mangin

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A la base je voulais faire un post sur l’excellente série de BD « les chroniques de l’antiquité galactique ».

Puis, je me suis dit qu’il serait dommage de ne pas parler du terrible « Petit miracle » et qu’il serait fort dommage d’oublier Luxley et tant d’autres…

Au final autant parler directement de leur auteure : Valérie Mangin.

Cette passionnée de culture classique, se lance dans la BD après une prépa à Henri IV, une thèse à l’Ecole des Chartes et des études d’Histoire et d’Histoire de l’Art à la Sorbonne. Autant dire que la culture qu’elle en retire imprègne grandement ses oeuvres.

Ses BD abordent différents sujets : transposition de mythes classiques dans la SF, uchronies, SF pure, fantastiques,….

Elle est surtout d’un concept remarquable : la BD tout public d’auteur : utiliser des domaines classiques de la BD, tels que la SF, tout en les dotant de scénarios de très haute qualité truffés de connaissances historiques et culturelles.

C’est un pari extrêmement risqué et casse-gueule! Difficile en effet de ne pas tomber dans l’étalage de culture (comme le fait trop souvent à mon goût Umberto Eco dans ses romans…) ou de créer des histoires ultra-élitistes truffées de références compréhensibles que par un petit nombre d’initiés…

Valérie Mangin réussit le pari haut la main! Ses scénarios sont passionnants, peuvent se lire à différents niveaux, que l’on soit passionné de culture grecque ou simple fan de SF (ou les deux en même temps!) ou bien même simple curieux de BD.

Chacune de ses BD aborde des sujets extrêmement variés et se lit avec plaisir, et, chose rare, amène le lecteur à se poser bien des questions…

Quand je lis les oeuvres de Valérie Mangin, la meilleure comparaison qui me vient à l’esprit est celle avec Tarantino : ils sont tous les deux experts et passionnés dans leur domaine, mais refusant l’élitisme, mettent leur art et leurs connaissances au service de thématiques dites « populaires », souvent déconsidérées et les subliment par leur dextérité!

Vous trouverez l’intégrale des oeuvres de Valérie Mangin au Pôle Jeunesse et et Pôle Art de votre BFM!

 

 

 

 

 

 

 

Red Rising

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« J’aurais pu vivre en paix. Mes ennemis m’ont jeté dans la guerre. » 

Darrow n’est pas un héros. Tout ce qu’il souhaite, c’est vivre heureux avec l’amour de sa vie. Mais les Ors, les dirigeants de la Société, en ont décidé autrement. Ils lui ont tout enlevé : sa raison de vivre, ses certitudes, jusqu’à son reflet dans le miroir.
Darrow n’a plus d’autre choix que de devenir comme ceux qui l’écrasent. Pour mieux les détruire. Il va être accepté au légendaire Institut, y être formé avec l’élite des Ors, dans un terrain d’entraînement grandeur nature.
Sauf que même ce paradis est un champ de bataille. Un champ de bataille où règnent deux règles : tuer ou être tué, dominer ou être dominé.

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Une Société au système de castes figé. Un Institut pour former les meilleurs. Un jeu sanglant, filmé, dans lequel des ados s’éliminent les uns les autres. Dans l’ordre, vous croyez avoir reconnu La Sélection, Divergente, Harry PotterHunger Games ? Raté. La bonne réponse, aux trois propositions, c’est Red Rising.
Bon, encore une histoire d’ados faite de différents éléments piqués à d’autres histoires qui ont bien marché : c’est ce que je me dis au premier abord. Mais comme je suis curieuse, je me lance quand même. Et là, bonne surprise : Red Rising n’est pas une pâle copie d’autre chose.

Red Rising a son identité propre, son histoire, son univers. Et quand on parle d’univers, c’est justement là que ça se passe, loin de la Terre, dans l’univers rouge de Mars. Rouge, c’est la Couleur de Darrow. Il a 16 ans. Il est fossoyeur. Il est marié avec Eo. Il est pauvre. Les Rouges forent la terre, suent toute la journée dans leurs combinaisons, sous la terre, frôlent la mort, les éboulements, les vipères. Ils dansent aussi. Et n’ont aucun espoir de vivre autre chose.

Darrow pourtant, aura un autre destin. Un destin chez les Ors, la caste la plus élevée de la Société. Eux ont tout : la meilleure nourriture, des draps de soie, des serviteurs, une vie à la surface. Un paradis ? En apparence seulement. Une fois à l’Institut, l’école dans laquelle les Ors font leur formation, Darrow découvre que le « jeu » est de ceux dont tout le monde ne ressort pas vivant.

L’univers de Red Rising m’a embarquée dès le début. J’ai transpiré, pleuré, serré les dents, hurlé avec Darrow. Violence, injustice, trahisons, pièges en tous genres, décor, amitiés : pas de temps mort dans ce roman.
Seule petite critique : le nombre de personnages secondaires, répartis dans les différentes Maisons, a par moments entraîné une certaine confusion dans mon petit cerveau. Pollux, par exemple, c’est la Maison Mars clan Antonia ou un des soldats de Vixus ? Pas facile de se souvenir de tout, d’autant que, comme dans toute guerre, les alliances ne sont parfois que de circonstance et les esclaves susceptibles de changer de Maison d’une page à l’autre… Mais cela fait tout simplement partie de l’histoire.

Et la fin alors ? Ne comptez pas sur moi pour vous raconter quoi que ce soit. Mais sachez juste que j’attends la suite, Golden Son, avec impatience !

Red Rising, tome 1, Pierce Brown

Roman #Bleue de Florence Hinckel

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#Bleue de Florence Hinckel, Syros 2015

 

Imaginez un monde où la loi oblige à être heureux à tout prix…

Cette société pratique l’oblitération. En agissant sur certaines zones du cerveau, la douleur émotionnelle disparaît et on peut reprendre « une vie normale ». A chaque oblitération un point bleu est visible au niveau du poignet. Elle permet aussi aux adultes volontaires d’évoluer plus rapidement dans leur carrière professionnelle.

« ll paraît qu’avant, la rue était beaucoup moins sûre. Mais aujourd’hui, l’oblitération est entièrement prise en charge par l’État, ce qui fait qu’un gars comme ce SDF peut en bénéficier autant qu’il le souhaite. Bien entendu, il sera toujours sensible au dénuement, à la sensation de froid ou de faim, mais il peut oublier la douleur morale qui en découle. Ainsi, tous ceux qui ne souffrent plus de leurs conditions de miséreux n’ont plus aucune raison d’être agressifs. »

 

Les plus jeunes ont l’obligation de s’y conformer. Connectés au réseau en permanence, ils doivent  faire état de leur humeur plusieurs fois par jour. Dans le cas contraire la Cellule d’Éradication de la Douleur Émotionnelle (CEDE) intervient.

Nos deux héros, Silas et Astrid vont-ils réussir à lutter contre ce système pour gagner leur liberté.

Dans ce roman d’anticipation Florence Hinckel nous emmène dans un monde proche du notre. On s’interroge sur ce qui fait l’être humain : les sensations, les douleurs, les souvenirs et le deuil. Si tout disparaît, que reste-t’-il?

Ce livre est sélectionné pour le Prix passerelle(s) 2015/2016.

Le Remède Mortel

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Le temps des mensonges est terminé.

Le WICKED a tout volé à Thomas : sa vie, sa mémoire et maintenant ses seuls amis. Mais l’épreuve touche à sa fin. Ne reste qu’un dernier test… Terrifiant. Cependant, Thomas a retrouvé assez de souvenirs pour ne plus faire confiance à l’Organisation. Il a triomphé du labyrinthe. Il a survécu sur la terre brûlée. Il fera tout pour sauver ses amis, même si la vérité risque de provoquer la fin de tout.

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Le Remède Mortel signe la fin de la trilogie L’Epreuve de James Dashner.

Thomas et ses amis sont sortis de la Terre Brûlée, mais ça n’a pas été sans douleur. Certains sont morts, d’autres ont été blessés. Désormais, Thomas est enfermé, seul, dans une pièce blanche, clinique. Mais il va bientôt en sortir, et le temps des réponses, tant attendu, est désormais arrivé. Mais tout ne va pas se passer dans le calme et la bonne humeur…

Ce dernier tome m’a moins convaincue que La Terre Brûlée. On est plus dans un livre de dystopie/SF classique que dans quelque chose de vraiment nouveau, comme l’avaient été les deux premiers tomes.

Cette fois, les épreuves imposées par le WICKED sont terminées. Les choses ne se règlent toutefois pas comme ça. Rapidement, Thomas, Minho, Newt, Brenda et Jorge réussissent à échapper à l’Organisation. Mais ce n’est que pour se retrouver à Denver, ville en perdition face à la Braise. Le virus fait rage sur ce qu’il reste des Etats-Unis, et la population touchée devient de plus en plus violente. La Braise ronge le cerveau des gens contaminés, inlassablement, tandis que le WICKED tente depuis des années de trouver un remède. Sauf qu’il s’est embourbé au fil des années, et les gens à sa tête ressemblent plus à des scientifiques fous, eux aussi au bout du rouleau, qu’à des sauveurs de l’humanité.

Beaucoup de choses se passent dans ce troisième tome. Bien plus que dans les précédents. Ce qui est à la fois bien et à la fois moins bien.
Bien, parce que le lecteur est satisfait, du côté action, aventure. Thomas sort enfin des murs de l’Organisation, voit enfin le monde tel qu’il est. Le héros a aussi des réponses dans ce tome. Réponses que l’on attendait depuis un petit moment déjà 😉
Moins bien, parce qu’il y a beaucoup d’éléments à prendre en compte, et certaines choses sont mises. De plus, j’ai trouvé ce tome un peu plus brouillon que les précédents, dû à ces trop nombreux éléments. L’auteur s’égare par moment, ce qui est dommage.
J’ai été aussi un peu déçue que Thomas refuse de recouvrer entièrement la mémoire. Les souvenirs qui lui sont revenus lui suffisent. Tout aurait pu être clair, mais il a peur des actions qu’il a pu commettre, peur de changer d’avis, peur de se ranger aux côtés du WICKED…. ce qui peut se comprendre. Mais on aurait enfin pu connaitre son implication réelle dans cette histoire. On sait que ce qu’il a fait n’est pas joli joli, mais ça s’arrête là.

J’ai trouvé que la fin était bien menée, mais restait trop classique et déjà vue.

L’Epreuve, Tome 3, Le Remède Mortel, James Dashner

Retour

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Survivre. 
Le manque d’oxygène à bord de la Colonie a déclenché une panique meurtrière. Seuls les plus chanceux ont pu emprunter les dernières navettes partant en direction de la Terre.
Aimer. 
Cette nouvelle apocalypse plonge les 100 dans l’angoisse : qui parmi leurs proches a survécu à l’atterrissage ? Les retrouveront-ils à temps ?
Manipuler. 
Bien décidé à conserver le pouvoir, le vice-chancelier n’hésitera pas à faire taire quiconque tentera de lui résister.
Combattre. 
Prêts à tout pour garder leur nouvelle liberté, Clarke, Bellamy, Wells et Glass devront chacun affronter leur destin pour sauver leur idéal. L’ultime compte à rebours a commencé.

Retour est le troisième et dernier tome de Les 100. Après deux tomes qui m’avaient laissé un sentiment plutôt mitigé, je crois que je suis plus ou moins réconciliée avec cette trilogie.

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Cette fois, le moment est venu : la station qui accueillait des milliers d’habitants dans l’espace n’a plus d’oxygène. Le tome 2 se finit sur l’évacuation et le départ vers la Terre de plusieurs navettes. Sauf que c’est un départ précipité, et que l’atterrissage va se transformer en catastrophe.
Les 100, eux, déjà sur Terre depuis des semaines, assistent impuissant au crash des différentes navettes. Ils ont appris à découvrir les secrets dont regorgent notre planète, sa beauté, mais aussi ses dangers. Certains Nés-Terre qui ont fait sécession se montrent hostile à l’arrivée de nouveaux sur la planète bleue, et se montrent violents. L’arrivée de centaines d’habitants ne va donc pas arranger les choses. Surtout que le vice-chancelier Rhodes se trouve à bord d’un des vaisseaux…

C’est, de nouveau, un livre qui se lit tout seul, grâce à une écriture fluide. Cette dernière reste neutre, ce qui me gêne un peu. Du coup, pour moi, les personnages sont lisses, sans vraie personnalité, alors que je sais que ce n’est pas le cas. Ce sont des personnages forts, qui vivent des choses dures pour des jeunes gens comme eux.

L’auteur montre un côté désagréable propre au genre humain : nous sommes incapables de rester unis, pas même pour notre bien. Alors pour le bien de la planète… Il ne faut pas y compter. C’est comme si nous étions nés pour détruire ce qui nous entoure. Le Cataclysme, qui a eu lieu il y a plusieurs centaines d’années, n’a pas de servi de leçon. Il y a toujours quelqu’un qui veut être plus puissant que son voisin, qui veut avoir le pouvoir et commander. Cette personne est ici représentée par le personnage du vice-chancelier Rhodes, qui va jouer au « chefaillon » ôtant tout bonheur autour de lui.
Ce côté « maître du monde » est cassé par les personnages de Clarke, Glass, Wells, Bellamy, Olivia, Max, Sasha. Ils font preuve d’altruisme : seule leur survie, et celles des autres, compte. Il n’y a pas, dans leur esprit, de volonté d’être au pouvoir. Clarke, Wells et Bellamy, qui sont sur Terre depuis le début, ont appris à survivre, et à faire le bien autour d’eux. Clarke soigne, Bellamy chasse pour les 100, et Wells tente de les guider vers une vie qui se veut meilleure.
Au final, ceux qui avaient été condamnés sur la station spatiale pour des crimes plus ou moins horribles se trouvent être les plus humains de l’histoire, et les moins dangereux. Comme quoi, tout le monde change.

J’ai aimé comment a été traité la fin du roman. Sans spoiler les évènements, je peux vous dire qu’on finit sur une note d’espoir.

Les 100, Tome 3, Retour, Kass Morgan

La Terre Brûlée

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ET SI LA VIE ÉTAIT PIRE HORS DU LABYRINTHE ?

Thomas en était sûr, la sortie du labyrinthe marquerait la fin de l’Épreuve. Mais à l’extérieur il découvre un monde ravagé. La terre est dépeuplée, brûlée par un climat ardent. Plus de gouvernement, plus d’ordre… et des hordes de gens infectés, en proie à une folie meurtrière, errent dans les villes en ruines. Au lieu de la liberté espérée, Thomas se trouve confronté à un nouveau défi démoniaque. Au coeur de cette terre brûlée, parviendra-t-il à trouver la paix… et un peu d’amour ?

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Thomas et ses amis sont enfin sortis du Labyrinthe. Ils sont amenés par le WICKED dans un bâtiment dans lequel ils peuvent se reposer, loin de toutes les horribles épreuves vécues quelques jours avant. Le soulagement se fait au sein du groupe.
Sauf que bien sûr, les Epreuves ne sont pas finies. Rapidement, les garçons se rendent compte que quelque chose cloche. Des évènements bizarres arrivent : Teresa disparait; un nouveau, Aris, arrive dans leur groupe; des gens fous apparaissent aux fenêtres; des gens sont pendus au plafond… Des choses bien sympathiques donc. Et ce jusqu’à l’apparition de « l’homme-rat » qui leur explique que le Labyrinthe n’était que le début des Epreuves…

Je n’avais que moyennement aimé le premier tome de la trilogie L’Epreuve (chroniqué par Vesperr ici). L’écriture de l’auteur ne me plaisait pas trop et j’avais trouvé que le roman traînait un peu en longueur. L’histoire m’avait toutefois plu et intriguée, et c’est pourquoi je me suis attelée à la lecture de ce second tome.

Cette fois, j’ai trouvé que l’écriture était meilleure, plus dynamique et c’est donc avec plaisir que j’ai lu ce livre. On retrouve Thomas, Minho, Newt et les autres dans leurs rudes aventures. Thomas, comme dans le premier tome, est un héros qui doute, qui a peur. Toutefois, il se révèle lors des moments les plus importants, et prend bien le statut de leader.

C’est un second tome très bien mené, bourré de suspense, de rebondissements. Les personnages ne sont pas les plus intéressants du monde, mais on sent que des choses se cachent sous la surface…

L’Epreuve, tome 2, La Terre Brûlée, James Dashner

21e Jour

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5e Jour.
Sous la menace d’un ennemi invisible, Wells s’efforce d’empêcher les 100 d’imploser, bien décidé à protéger les derniers humains sur Terre.

11e Jour.
À bord de la Colonie, Glass ne sait pas combien de temps il lui reste à vivre : elle veut profiter de la moindre seconde avec Luke.

17e Jour.
Dans la forêt hostile, Bellamy ferait n’importe quoi pour secourir sa soeur Octavia, quitte à se sacrifier pour elle.

21e Jour.
Après une cruelle série de drames, Clarke se demande si les 100 sont enfin en sécurité ou s’ils ne sont que des morts en sursis…

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Clarke, Bellamy, Wells sont toujours bloqués sur Terre, tentant de survivre tant bien que mal avec les autres prisonniers, les 100. Ils doivent faire face à un milieu hostile, très différent de là où ils sont nés et ont grandi, une station spatiale appelée la Colonie.
Glass, quant à elle, est restée dans la station spatiale, mais l’air commence à s’y faire rare… la lutte pour la survie a commencé, pour les uns comme pour les autres.

Le second tome reprend juste trois jours après l’attaque d’un des natifs de la Terre. Un des 100, Archer, est mort, et les autres se savent en danger. Ils ne savent pas trop quoi faire, le groupe se divisant devant plusieurs chefs.
Octavia, la soeur de Bellamy, est toujours portée disparue, emportée par les Nés-Terre. Est-elle toujours en vie ? Bellamy veut en avoir le coeur net et décide d’aller la chercher sur le territoire des hommes qui ont kidnappé sa soeur.
Des gens tombent malades, et c’est Clarke qui s’occupe d’eux. On ne sait si cela est grave ou non…

L’arrivée de Sasha redonne une certaine vigueur à ce second tome qui s’était enfermé, à l’image des personnages, dans une certaine routine (comme on peut le voir ci-dessus). C’est une Née-Terre que les 100 parviennent à capturer, et grâce à elle, l’histoire va avancer.

Je suis assez mitigée sur ce second tome. Au départ, je trouvais que l’écriture n’était pas assez dynamique, de même qu’il n’y a pas assez d’action à mon goût. Toutefois, l’histoire repart un peu, incluant du suspense, et j’ai trouvé que c’était plus intéressant.

L’auteur écrit bien, ce qui aide à avancer. Au fur et à mesure du roman, des questions sont soulevées, et elles n’ont pas forcément de réponses – du moins, pas tout de suite. On retrouve le format passé et présent, ce que j’aime bien.
La fin est pleine de rebondissements, avec des choses auxquelles je ne m’attendais absolument pas. Cela relance mon intérêt pour cette trilogie !

21e Jour, Les 100 tome 2, Kass Morgan