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Le Horla : adaptation en BD de Guillaume Sorel

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Guillaume Sorel est un auteur de BD consacré dans le domaine du fantastique par d’excellentes productions telles que Mans Magna, Algernon Woodcock, L’île des morts, Typhaon (tous ces titres sont disponibles à la BFM).

En 2014 Sorel nous livre une superbe interprétation de la nouvelle de Maupassant. Le dessin, soigné à l’extrême alterne des vues lumineuses de Paris ou de paysages normands aux tonalités baudelairiennes, avec des images sombres et torturées du héros aux prises avec ses angoisses et sa folie.
Ce contraste rend avec force et délicatesse l’ambiance à la fois romantique, raffinée mais aussi torturée et fantastique du XIXe siècle.

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Possession démoniaque, angoisse nocturne, psychose, folie, influence extra-terrestre…quelque soit le nom qu’on lui donne selon les époques ou les croyances, le mal décrit par Maupassant a toujours existé, traversant les époques et les frontières.
« Je ne suis pas fou…Quelque chose habite ici…avec moi…Elle peut toucher les gens…Je suis possédé ! Quelqu’un possède mon âme ! »

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Guillaume Sorel a donné un nouveau visage à cette folie, une nouvelle facette à ce mal polymorphe et éternellement attaché à l’être humain.

Vous trouverez cette BD au Pôle Jeunesse, dans les BD pour ados, à la côte ADO BD HOR.

Lovecraft, par Horacio Lalia

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Lovecraft, génie incontesté de l’horreur et du fantastique, n’est plus à présenter.
On ne dénombre plus les adaptations de ses œuvres tant au cinéma, qu’en musique ou en jeux vidéo.

L’oeuvre qui nous intéresse ici est l’excellente adaptation en BD de ses nouvelles par le dessinateur argentin Horacio Lalia.
Les meilleures nouvelles de Lovecraft sont réparties dans trois gros tomes « La couleur tombée du ciel », « Le grimoire maudit », « Le manuscrit oublié ».

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Tout en collant au plus près des histoires originelles, le dessinateur rend à merveille l’atmosphère lourde, glauque et terrifiante par un dessin très sombre mais pourtant toujours lisible et agréable à regarder.

Les monstruosités de Lovecraft étant généralement peu décrites, afin de laisser au lecteur le soin de les cauchemarder, les représenter en BD était un pari risqué.
Mais Horacio Lalia sait suggérer, représenter sans dévoiler, et rend à la perfection par le dessin ce que Lovecraft exprimait par les mots.

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En plus des trois tomes consacrés à Lovecraft, Horacio Lalia a également illustré des nouvelles d’Edgar Poe, avec la même qualité, sous le titre de « Edgar Poe : le chat noir ».

Ces BD sont à conseiller aussi bien aux fans de Lovecraft qu’aux néophytes voulant s’initier à cette sombre mythologie.

Vous trouverez ces 4 BD à la côte « MAG 3 BD LAL » à demander aux bureaux des DVD, elles sont en réserve (et oui, à l’image du Necronomicon, nous ne pouvons nous permettre de prendre le risque de les voir tomber entre des mains innocentes…)

Rétrospective Séries TV 2014

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2014 a été une année riche en séries, que ce soit des nouveautés ou des suites. Le cru a été excellent, et j’ai voulu partager avec vous mes coups de coeur. La plupart ne sont pas encore sorties en France, mais devant leur succès aux Etats-Unis, ça ne devrait pas tarder ! 🙂

La liste est bien entendu non-exhaustive vu le nombre de séries existantes (manquent les classiques Game of Thrones et autres Breaking Bad trop faciles à inclure dans un classement)  😉

1. Gotham

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Synopsis : Tout le monde connaît le Commissaire Gordon, valeureux adversaire des plus dangereux criminels, un homme dont la réputation rime avec « loi » et « ordre ». Mais que sait-on de son histoire ? De son ascension dans une institution corrompue, qui gangrène une ville comme Gotham, terrain fertile des méchants les plus emblématiques ? Comment sont nées ces figures du crime, ces personnages hors du commun que sont Catwoman, le Pingouin, l’Homme-mystère, Double-Face et le Joker ?

C’est une série hyper sympa, avec de l’action, des mystères, des enquêtes et des coups tordus. Tous les personnages sont réussis, qu’ils soient gentils ou méchants. A voir si on aime les univers DC Comics et Marvel, mais aussi tout simplement si on aime les séries policières.

2. American Horror Story : Freakshow

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Synopsis : Les coulisses d’une troupe de forains dans l’Amérique profonde des années 1950.

Quatrième saison de cette série horrifique, Freakshow nous emmène dans un monde d’horreur (le cirque, les clowns, les monstres, etc.), avec toujours les mêmes acteurs (Jessica Lange, Sarah Paulson, Evan Peters, Emma Roberts, etc.). Je trouve que cette saison est mieux que la précédente, avec plus de folie, d’horreur et un brin de mystère et d’émotions.

3. Penny Dreadful

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Synopsis : Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…

Cette série regroupe toutes les histoires londoniennes célèbres du XIXe siècle comme Dracula, Frankenstein ou encore Dorian Gray. Les penny dreadful sont des histoires macabres fictives publiées sur plusieurs semaines (elles étaient vendues en petits livres de 1 penny). D’où le côté sombre de la série. Série magistralement emmenée par un merveilleux casting (Eva Green, Josh Hartnett et Thimothy Dalton).

4. The Strain

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Synopsis : Lorsqu’un Boeing 777 atterrit à l’aéroport new yorkais JFK sans qu’aucun signe de vie n’en émane, Eph Goodweather, un scientifique spécialisé dans les épidémies et les attaques biologiques, est dépêché sur les lieux. A l’intérieur de l’avion, il découvre que tous les passagers sont morts, probablement tués par un étrange virus ou… un monstre non identifié. L’homme fait alors équipe avec un ancien professeur, survivant de l’Holocauste, Abraham Setrakian. Ensemble, ils constituent un petit groupe qui devient rapidement le dernier espoir pour la survie de la race humaine. Des vampires transforment en effet petit à petit la civilisation en un gigantesque buffet. Le sang coule à flots et rien ne semble pouvoir les arrêter…

Cette série est sans doute mon plus gros coup de coeur de 2014. Tirée de la trilogie du même nom, La Lignée (= The Strain), du génial Guillermo del Toro et de Chuck Hogan, met en scène un groupe d’individus luttant contre un mal inconnu qui se disperse au sein de New York. Entre créatures immondes, courses à travers les rues pour survivre et plans machiavéliques, cette série m’a surprise et séduite. J’attends la suite avec impatience.

5. Black Sails

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Synopsis : 20 ans avant les évènements de L’île au trésor de Robert Louis Stevenson, les aventures du légendaire capitaine Flint et de ses hommes.

Bien qu’un peu violente, cette série a réussi à me séduire. Pirates, mutineries, pourparlers… tout y est. Loin de l’esprit de Pirates des Caraïbes, cette série reste divertissante.

Il y a bien évidemment d’autres séries de 2014 (The Flash, True DetectiveHow to Get Away With Murder, The Originals, Peaky Blinders, The Leftlovers, The 100) à voir…

Déliquescence

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Le voile a été levé sur les étranges rêves de Cornélia mais elle est plus que jamais en danger. Pourtant, la seule prudence n’est pas ce qui la pousse à rester auprès de Henri. Progressivement, leurs liens se renforcent bien que l’ombre du passé plane sur leur relation… Pire encore, pour assurer leur protection contre Avoriel, ils doivent retourner à Reddening House où Cornélia a été témoin des horreurs que peuvent commettre ses habitants. Déjà angoissée, la jeune femme se noie de plus en plus dans de bien surprenantes visions…

CVT_Les-larmes-rouges-2-deliquescence_9722.pjpeg J’avais beaucoup aimé le premier tome des Larmes Rouges, que j’avais chroniqué ici. Et j’ai adoré ce deuxième tome ! L’auteur, Georgia Caldera, maitrise son sujet de A à Z, avec une écriture fluide très agréable et un vocabulaire riche. Cette auteur française n’a rien à envier à certains grands auteurs américains !

Dans ce second tome, on retrouve Cornélia, bien que parfois exaspérante car trop curieuse, égale à elle-même : c’est un personnage fort, qui ne s’en laisse pas conter facilement. Lorsqu’elle veut quelque chose, elle fait tout, ou presque, pour l’obtenir. Et ce n’est pas Henri, le charmant Prince des vampires, qui dira le contraire ! 🙂

Dans ce second tome, c’est sans doute lui qui a le plus évolué. Alors qu’il était renfermé, grognon, détestable par moment, il s’ouvre peu à peu à la jeune fille. Bien entendu, il garde ses secrets pour lui, mais c’est sans compter sur Cornélia, qui va les déterrer un à un… ce qui ne va pas être de tout repos pour le couple. Henri garde toutefois ce qui avait fait son charme dans le premier tome, à savoir son air renfrogné et l’attention toute particulière qu’il porte à la jeune fille.

D’autres personnages entrent à présent en compte, en plus de l’affreux roi des vampires Avoriel, personnage cruel et mesquin. On les avait déjà aperçus dans Réminiscences, sans qu’ils soient développés plus que ça.

On retrouve le côté gothique que j’avais apprécié dans Réminiscences , mais toutefois moins présent qu’avant. De même, l’hémoglobine coule à flot, et certaines scènes sont parfois à la limite du supportable. Le côté « mignon » des vampires de certains romans est totalement éclipsé, et ce n’est pas plus mal. On voit leur côté bestial, aimant le sang, la chair… un côté auquel Anne Rice nous avait habitués.

On retrouve aussi le côté flash-back qui était agréable dans le premier tome. Cela permet au lecteur de respirer un petit peu par rapport à l’histoire qui se passe de nos jours. Il peut ainsi mieux se plonger dans le passé du Prince des vampires, de sa relation avec le Roi des vampires et avec les femmes. Côté que l’on n’avait que peu vu dans le premier tome.

Ce tome s’arrête en plein suspense… j’attends donc avec beaucoup d’impatience le troisième et dernier tome de cette trilogie fantastique !! 🙂 (heureusement, l’auteur sait nous faire patienter avec d’autres livres de son cru 🙂 ).

La seule chose que je peux déplorer, c’est qu’il est dommage que la couverture ne soit pas une illustration de l’auteur, tout comme pour le premier tome !

Le Protectorat de l’Ombrelle

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Tome 3 : Sans Honte (spoilers si vous n’avez pas lu les deux précédents tomes)

Lady Alexia Woolsey est indiscutablement le scandale de la saison londonienne.

Après les événements survenus en Écosse, elle est retournée vivre chez ses parents. La reine Victoria l’a exclue du Cabinet fantôme, et la seule personne qui pourrait donner une explication à sa délicate condition actuelle, Lord Akeldama, a inopinément quitté la ville. Pour couronner le tout, Alexia découvre que les vampires de Londres ont juré sa mort.
Tandis que Lord Maccon met toute son énergie à boire, et que le Professeur Lyall tente désespérément de maintenir la cohésion au sein de la meute Woolsey, Alexia s’enfuit en Italie à la recherche des mystérieux Templiers. Ils sont les seuls à pouvoir l’aider. Mais ils pourraient aussi s’avérer pires que les vampires. Surtout armés de pesto.

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Troisième tome des aventures d’Alexia Tarabotti, Sans Honte est à l’image de ses prédécesseurs : complètement loufoque, plein de rebondissements et tout à fait délicieux.

Lady Maccon, rejetée par son mari, part pour l’Italie afin d’avoir des réponses sur sa grossesse inattendue. Lord Akeldama, son ami vampire de toujours, ayant mystérieusement disparu avec la totalité de ses drones, elle n’a pas d’autre choix que de retourner sur sa terre d’origine : l’Italie. Les Templiers semblent être ceux qui ont le plus de chance de pouvoir lui apporter ces réponses. Sauf que les choses ne vont pas se passer comme prévues, bien entendu, et vont indubitablement se compliquer.

Lady Maccon n’a plus rien à perdre, et hors de l’Angleterre où les moeurs sont plus « libres », presque toutes les étiquettes sont bafouées. Elle essaye cependant  de rester une dame tout à fait respectable et digne, mais sans totalement y arriver, sa réputation la précédant. Cela apporte une certaine évolution à son personnage délirant qui sortait déjà du lot dans la bonne bourgeoisie anglaise.
Elle va passer par la France et rencontrer des inventeurs et scientifiques tous aussi fous les uns que les autres grâce à son amie Mme Lefoux. Accompagnées de Floote, le majordome taciturne, les deux dames vont vivre de nombreux rebondissements qui vont les mener toujours plus loin dans leur quête et les obliger à se poser toujours plus de questions.

Ce troisième tome est aussi bien que le second. J’ai juste trouvé dommage que Lord Maccon, ce goujat de loup-garou, ne soit pas plus présent : ses joutes verbales et son caractère de cochon m’ont beaucoup manqué. Heureusement, la fin rattrape le reste du roman de ce côté là, avec un grand moment de « réconciliation ».
J’apprécie aussi le fait que l’histoire soit divisée entre Alexia, Mme Lefoux et Floote d’un côté et le professeur Lyall à qui arrivent tous les malheurs du monde (et que j’aime beaucoup) d’un autre côté. Cela inclus du suspense à l’intérieur des chapitres, ce qui pousse bien souvent le lecteur à continuer l’histoire.

Sans honte, tome 3, Gail Carriger

Le Protectorat de l’Ombrelle

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Tome 2 : Sans Forme (spoilers si vous n’avez pas lu le premier tome !)

Un jour qu’elle se réveille de sa sieste, s’attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s’en faire exploser les poumons. Puis il disparaît sans explication… laissant Alexia seule aux prises avec un régiment de soldats non humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n’est point amusée du tout. Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête !
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J’ai bien aimé ce second tome, même s’il n’est  pas aussi réussi que le premier, ce qui est plutôt dommage.

J’aime toujours autant le personnage d’Alexia Tarabotti Maccon qui est désormais mariée à Lord Conall Maccon, le loup-garou Alpha de la meute de Woolsey, aussi comte et chef du BUR. Les joutes verbales mythiques de Lady Maccon me font toujours autant rire (le style de l’auteur est absolument génial et on s’y croirait presque !), de même pour les attitudes empruntées d’Ivy Hisselpenny (la bonne société anglaise du XIXe siècle…). Le steampunk est toujours aussi présent et important dans l’histoire, ce que je trouve intéressant. Il permet une certaine diversité par rapport à d’autres séries (par exemple, New Victoria), dans lesquelles le steampunk est beaucoup moins présent.

Des personnages importants du premier tome sont quasiment absents de ce tome, comme par exemple Lord Akeldama, ce qui est dommage ! Même si je me méfie de ce personnage haut en couleur, j’aime bien les petites appellations dont il affuble les autres personnages. Il en est de même avec le professeur Lyall que j’aime beaucoup et qui n’est jamais là, Alexia et sa troupe d’amis étant partis en Ecosse.
Toutefois, d’autres comme Ivy Hisselpenny et ses chapeaux exubérants (et de mauvais goût), Tunstell, le porte-clés de Lord Maccon sont toujours présents pour notre plus grand plaisir 🙂 De même, la présence de Félicité (la demi-soeur d’Alexia) apporte un petit plus piquant à l’histoire et dans les dialogues.

Le reste de l’histoire est pleine de rebondissements (l’accent est mis sur les loup-garous écossais et non plus sur les vampires anglais), pleine d’humour (j’ai ricané plus d’une fois) et pleine de surprises. On sent toutefois que c’est un tome de transition entre le premier tome qui pose la trame et le troisième où Alexia retourne à ses origines en Italie, et que ce n’est pas ce second tome qui va être réellement important pour la saga (même s’il introduit certaines choses qui vont rythmer à coup sûr la suite de la saga).

Âmes Soeurs

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Promets-moi. Promets-moi que quoi qu’il arrive tu seras toujours là pour moi.
Je te le promets, Lenah, quoi qu’il arrive.

Mais c’était trois cents ans plus tôt, alors que Lenah et Rhode étaient enlacés, éblouis par l’amour qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Aujourd’hui, Rhode a disparu, Lenah est redevenue humaine, plus fragile encore que la jeune fille qui succombait à Rhode dans le cimetière sous la lune. Et Lenah subit une nouvelle épreuve : retourner dans le passé et ne jamais connaître Rhode, son âme soeur, ou rester ici et maintenant pour lutter contre Ava, la vampire nouvelle venue qui s’acharne sur elle…

ames soeurs rebecca maizel

J’avais beaucoup apprécié le premier tome, Humaine, de Rebecca Maizel. Je ne pensais pas du tout qu’il y aurait une suite, puisque, même si la fin du premier tome est un peu triste, elle se suffisait à elle-même. J’ai toutefois été ravie d’apprendre qu’il y avait une suite, même s’il n’y en avait pas besoin.

Sauf qu’en fait, elle est assez décevante ! D’accord, Lenah est devenue humaine comme elle le souhaitait, après plus de 500 ans d’existence en tant que vampire. D’accord Vicken est aussi devenu humain. Mais Rhode qui est censé être mort est en fait en vie (et humain), on ne sait pas trop par quel miracle. Il y a aussi Justin, le personnage qui n’a pas grand chose à faire là, puisqu’il n’est pas du tout du même monde que les trois autres. Et Tracy qui ne sert à rien.

Tout va trop vite, avec pas moins de trois meurtres dans les 200 premières pages, le retour de Rhode, la sentence des Aeris… Le problème réside dans les 250 autres pages puisque ce n’est que du blabla… On voit que l’auteur avait matière a faire un deuxième tome, sauf que tout est beaucoup trop long, et au moins 150 pages auraient pu être enlevées sans problème.
De plus, je n’arrive pas à comprendre Lenah : si j’avais été elle, je serais redevenue une reine-vampire sanguinaire et aurais tué tout ceux qui se seraient dressés sur mon chemin 😉

J’ai eu beaucoup de mal a rentrer dans ce tome et la fin m’a rendue triste et m’a déçue. Pas top ! J’attends de voir si le tome 3 va rattraper ce second roman. En même temps, je ne vois pas trop ce qu’elle va nous raconter…

En clair, c’est un roman bof-bof, plus que moyen, comparé à un premier tome que j’avais trouvé plutôt original.